Terre Sainte ou le drame d’une humanité écartelée entre désir de partage et fanatismes, religieux ou ethniques. Chez Mohamed Kacimi, il n’y a ni procès, ni parti pris ; son écriture passe avec franchise du réalisme au lyrisme, et du tragique au comique. L’humour et la vitalité se révèlent les seules façons de traverser le désastre avec dignité.

Théâtre de la Tempête – 2009

“J’ai perdu la guerre, j’ai perdu la terre, j’ai perdu deux enfants, j’ai perdu mon histoire, j’ai perdu le sommeil, j’ai brûlé des amours, j’ai brûlé ma fortune. Mais j’ai appris une chose. J’ai appris qu’il faut chercher le bonheur jusque dans la catastrophe.” Yad